Il faut vouloir survivre
La mort des êtres chers, c'est un cyclone qui vous aspire, dans lequel vous pouvez vous laisser entraîner et vous noyer. Il faut s'éloigner du cyclone. Il faut vouloir survivre.
Et c'est en soi, seulement en soi et par soi, qu'on peut décider de vaincre le désespoir de la mort. Par l'action et la pensée, il faut construire, des barrages contre le désespoir, puis se tourner vers les autres, vers la vie...
Être fidèle à ceux qui sont morts, ce n'est pas s'enfermer dans sa douleur. Il faut continuer de semer ses rêves, de creuser son sillon droit et profond, comme ils l'auraient faits eux-même . Ou comme nous l'aurions fait avec eux et pour eux.
Être fidèle à ceux qui sont morts, c'est vivre comme ils l'auraient vécu. Et les faire vivre en nous.
Martin Grey
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Une personne chère ne nous quitte jamais
Elle vit au plus profond de notre coeur
et pour la revoir
il suffit de fermer les yeux
Josée Jacques
tre beau texte...nos disparus resteron toujours dan nos coeue a jamais...comme ont dit le temps passe le souvenir reste
c'est si réelle et depui que les mamans de jennifer et mélanie sa ma beaucoup touché , car moi je trouve sa trè courageux d'etre venu nous parler de sa , ce ki na pas du étre très facile , depui votre intervention , jai dit a mon peti copain que quand il arroze un peu trop des soiré qu'il reste déja chez sont ami donc voilà je voulai vous remerciez énormément vous pourez compter sur moi pour être très vigilente sur la route quelque soit le temps , l'heur ou ma forme ou mm mon engin de transport
Si seulement fermer les yeux,te voir,te sentir...me soulageait.Oui je serais appaisée.Peut-être que la force me manque...en tout cas très beau texte,surtout celui de Martin Grey.